17 octobre 2000, 0h00
Partager
Alors que les conseils d’administration de Chevron et de Texaco ont donné leur accord à la fusion entre les deux compagnies, ce qui en fera le quatrième groupe mondial au niveau du chiffre d’affaires, mais le deuxième en termes de réserves de pétrole – facteur beaucoup plus important – on peut se demander quel est le sens des fusions qui depuis 1 à 2 ans animent le secteur et si celles-ci mènent finalement vers le succès. Ingénieur en chef à l’Institut Français du Pétrole (IFP), Jean-François Gi...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT