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Changes: les riches du G7 mordent Pékin mais aboient contre Tokyo

Le G7 a redit comme en septembre que les changes «doivent refléter les fondamentaux de l’économie» et que la volatilité excessive est «indésirable».

12 février 2007, 0h00
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Le pays riches du G7 sont restés durs avec la Chine, priée samedi de laisser s’apprécier sa monnaie, mais ont épargné le yen, dont la faiblesse irrite les Européens, ces derniers ayant toutefois obtenu des gages du Japon en vue d’une remontée de la devise nippone. Venus à Essen (ouest) pour en découdre avec le Japon et la sous-évaluation chronique de sa devise, qui pénalise ses exportateurs, les Européens sont repartis avec une promesse des autorités nippones que le yen finirait par se réappréc...
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