07 septembre 2001, 0h00
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L’horlogerie est un monde curieux. Si elle est un exemple de progrès en matière de technique, de stratégie de vente, de publicité, de communication elle sait se faire extraordinairement frileuse, conservatrice, voire même rétrograde sur certains sujets. Comme s’il existait des «tabous». C’est notamment le cas à propos d’internet. Aujourd’hui il est bien difficile d’acheter une montre suisse de qualité sur le web. A part Swatch qui a lancé l’essai aux Etats-Unis, les grands groupes ne sont présen...
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