15 mai 2007, 0h00
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Le groupe allemand DaimlerChrysler tourne la page sur son aventure américaine. L’expérience ratée de la création d’un groupe automobile transatlantique lui aura coûté cher. En vendant 80,1% du constructeur automobile Chrysler, la firme de Stuttgart répond à la pression de ses actionnaires lassés d’éponger les pertes de l’ex-numéro trois de l’automobile aux États-Unis. Acheté 36 milliards de dollars en 1998, Chrysler passe aujourd’hui dans le giron du fonds privé d’investissement new-yorkais Cerb...
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