21 août 2001, 0h00
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Le chiffre de soixante lignées cellulaires d’origine embryonnaire utilisables par les chercheurs publics américains a considérablement surpris les spécialistes. Non seulement, ils s’interrogent sur la qualité des lignées existantes (lire l’agefi du 20 août) mais ils contestent le nombre même. Ces soixante lignées représentent un chiffre mondial. Mais la plupart des spécialistes n’avaient connaissance que d’une vingtaine. Curieusement, aucune des lignés connues publiquement ne provenait d’Europe ...
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