22 avril 2012, 21h06
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Pour qui veut se doter d’une solide protection contre les brutales turbulences du marché des devises, ou contre les risques subsistants d’insolvabilité des banques ou des États, quelle meilleure protection que l’or physique? Selon le type d’achat, droits et risques diffèrent pourtant considérablement. Convaincu de se couvrir contre un risque de faillite, un investisseur peut, en toute bonne foi, se retrouver dans une situation de créancier ordinaire, c’est-à-dire sans aucune garantie. Car il exi...
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