20 décembre 2005, 0h00
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Hugo Chavez a été le premier chef d’Etat étranger à féliciter son «poulain» Evo Morales. Le président vénézuélien ne rate pas une occasion de narguer le grand voisin nord-américain, dont la réaction à l’élection de celui qui s’est présenté comme «un cauchemar pour le gouvernement des Etats-Unis» ne pouvait évidemment venir avec la même célérité ni le même enthousiasme.
L’élection bolivienne ne fait pas la une à Washington
Le moins qu’on puisse dire est que l’élection bolivienne n’occupait pas ...
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