29 octobre 2003, 0h00
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Nos patrons s’en frottent déjà les mains: l’année prochaine, par un hasard du calendrier, ce sera leur fête. Et nous, pauvres ouvriers au service du grand capital, nous allons trimer. Voyez un peu.
D’abord, comme tous les quatre ans, le mois de février comportera 29 jours – le 29 tombant, il est vrai, sur un dimanche mais, du coup, c’est le 1er mars qui sera laborieux. Le 1er mai, fête du Travail, nous fêterons comme tous les samedis en allant faire nos courses dans les supermarchés de périphér...
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