05 mars 2001, 0h00
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Lorsque Renault a lié son destin au japonais Nissan en 1999 en prenant une participation de 36%, on a jugé le pari risqué. Le deuxième constructeur nippon était un champ de ruines: sept exercices déficitaires consécutifs avaient accumulé près de 20 milliards de dollars de dettes. La gamme était vieillissante, l’image de plus en plus faible. Grâce à cette fusion, Renault est aujourd’hui devenu membre du club très fermé des six géants mondiaux de l’automobile, en cinquième position derrière le gro...
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