19 mai 2005, 0h00
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Après la percée spectaculaire – mais ce fut il y a déjà trente ans! – du tamoxifène, qui a permis depuis son introduction de faire un saut remarquable dans le traitement des cancers du sein dits hormono-dépendants (une réduction de la mortalité de plus de 25%), il aura fallu attendre le milieu des années 90 pour voir débarquer une nouvelle classe de médicaments révolutionnaires, ceux que les spécialistes nomment des «inhibiteurs sélectifs de l’aromatase».
Un traitement
d’efficacité confirm...
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