08 mars 2000, 0h00
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Les mauvaises langues l’accusaient d’être un pâle fonctionnaire incapable de succéder à Michel Camdessus à la tête du FMI. Elles se voyaient déjà disant «ciao» à Caio lors de quelque cocktail mondain. Aujourd’hui, elles peuvent le faire.
L’un des éléments négatifs était que le candidat allemand n’a été ni gouverneur d’une banque centrale, ni ministre des Finances.
En outre, on le connaissait mal. Entré à la Banque mondiale en 1973, il y a fait une carrière tranquille jusqu’à atteindre le poste d...
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