31 octobre 2003, 0h00
Partager
«Ça va chauffer le 10 décembre.» Même si le chaos actuel risque de se décanter d’ici là, la tension sera à son comble lors de l’élection du Conseil fédéral. Point positif: les partis sont obligés de discuter et de chercher des points de convergence.
«Pour l’instant, c’est une cacophonie monstre et tout est possible», a indiqué jeudi à l’ats Pascal Sciarini, professeur à l’Institut de hautes études en administration publique (IDHEAP) de Lausanne. «Je comprends dans un certain sens la proposition...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT