03 mai 2005, 0h00
Partager
Quotidiens et périodiques vivent, on le sait, largement de la pub. Et quand celle-ci vient à manquer, ils encaissent le coup et en gardent des bleus. Or, depuis une vingtaine d’années, on constate que la publicité et les petites annonces font des infidélités à la presse écrite pour tenter leur chance sur toute une kyrielle de médias plus ou moins nouveaux. On voit bien que la TV, avec son impact du «prime time», a piqué de gros annonceurs. Les radios locales, grâce à leurs publics ciblés, sont d...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT