27 novembre 2009, 0h00
Partager
C’était sa première intervention devant le Parlement. Didier Burkhalter, le réformateur qui n’aime pas le spectacle, fut fidèle à son image. Il a parlé longuement, sans effets de manche, il a pointé des objectifs clairs, il a invité fermement ses anciens pairs à empoigner les réformes fondamentales. Le message a eu l’air de passer. Le Neuchâtelois est bercé par l’état de grâce des premiers jours de règne. Mais il doit maintenant démontrer cette qualité que les médias alémaniques lui ont accolée,...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT