15 mai 2000, 0h00
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On a beau n’investir que dans la high-tech, on peut avoir l’amour des vieilles pierres. Les bureaux que Bryan Wood, partenaire principal d’Alta, a choisi à Genève, nichent dans la vieille ville. Pour s’y rendre, il faut pousser la porte d’un hôtel particulier, grimper quelques marches et découvrir un Canadien d’une cinquantaine d’années qui, malgré six ans en Suisse romande, ne parle toujours qu’anglais. «C’est la seule langue pour les affaires», explique ce bourreau de travail, toujours en rout...
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