01 octobre 2004, 0h00
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Le doute n’est plus permis: le 6 octobre, la Commission européenne recommandera aux Vingt-Cinq d’ouvrir, en 2005, les négociations d’adhésion de la Turquie à l’Union européenne. Prisonniers des promesses qu’ils ont faites à Ankara, les chefs d’Etat de l’UE pourront difficilement déjuger Bruxelles, le 17 décembre, lorsqu’ils trancheront la question. Elle risque pourtant d’interférer avec la ratification de la Constitution européenne.
Un défi, certes, mais également une chance
L’agence de presse...
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