21 septembre 2004, 0h00
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Après s’être montrée très bonne fille avec la Turquie ces derniers mois, la Commission européenne a décidé de sortir les crocs. Floué par le report sine die de la réforme du Code pénal turc, à deux semaines de la publication d’un rapport décisif pour l’entrée de la Turquie dans l’Union européenne, l’exécutif bruxellois met désormais à Ankara le couteau sous la gorge. «Tant que la réforme du Code pénal ne sera pas adoptée, les négociations d’adhésion avec la Turquie ne pourront pas démarrer», a d...
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