20 avril 2004, 0h00
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Avec l’américanisation des mœurs et le déferlement sur nos écrans de téléfilms policiers produits au kilomètre, notre langage a subi, à l’insu de notre plein gré, une inflation subreptice. On la retrouve, hélas, même dans les journaux. Ainsi, quand un chroniqueur raconte que le gendarme de Bioley-Magnoux s’est rendu sur le site d’un accident de la route, il est désormais de coutume d’écrire «l’officier de police Pochon», alors même que le brave pandore attend toujours sa première barrette d’appo...
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