27 août 2009, 0h00
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Le nouveau groupe BPCE, né de la fusion entre la Caisse d’Epargne et la Banque Populaire, a offert mercredi un nouveau départ à sa filiale Natixis en la délestant d’un portefeuille d’actifs encombrants, un geste fort de nature à satisfaire les petits porteurs, malmenés depuis trois ans.
En assumant désormais les pertes potentielles liées à ce portefeuille d’actifs illiquides (difficiles à vendre) et en partie toxiques, BPCE a libéré Natixis d’un boulet qui a directement occasionné plus de 6 mil...
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