04 avril 2001, 0h00
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Heureusement que Swissair n’a pas investi massivement dans internet, sinon que n’aurait-on entendu. Zurich Financial Services, Vontobel, SGS… à chaque fois l’explication totale ou partielle de difficultés récentes ou à venir a été la même ces dernières semaines. C’est la faute à internet comme Gavroche prétendait que c’était celle à Voltaire.
Après que les titres technologiques se soient effondrés en bourse et que les dotcoms aient été prises en grippe par les investisseurs, l’excuse internet a...
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