• Vanguard
  • Changenligne
  • FMP
  • Rent Swiss
  • Gaël Saillen
S'abonner
Publicité

Bouc émissaire facile, internet est surtout un révélateur des erreurs d’appréciation et de gestion des entreprises

Les crises de Vontobel ou de la Zurich ne peuvent pas être seulement excusées par les déboires de la nouvelle économie.

04 avril 2001, 0h00
Partager
Heureusement que Swissair n’a pas investi massivement dans internet, sinon que n’aurait-on entendu. Zurich Financial Services, Vontobel, SGS… à chaque fois l’explication totale ou partielle de difficultés récentes ou à venir a été la même ces dernières semaines. C’est la faute à internet comme Gavroche prétendait que c’était celle à Voltaire. Après que les titres technologiques se soient effondrés en bourse et que les dotcoms aient été prises en grippe par les investisseurs, l’excuse internet a...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT

Plongez-vous dans l’actualité des entreprises, de la finance et de la politique