21 avril 2008, 0h00
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De mémoire de Londoniens, jamais une campagne n’était tombée aussi bas depuis la première élection au suffrage universel, en 2000. Même la presse tabloïd semble dépassée par la personnalité des deux principaux candidats à la mairie de Londres, le maire sortant travailliste Ken Livingstone, surnommé Ken le rouge, décrédibilisé par divers scandales (corruption, ivresses publiques, blagues douteuses, etc.), et le Tory Boris Johnson, professionnel des envolées lyriques ou scabreuses qui ont au moins...
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