09 juin 2009, 0h00
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Dans sa note hebdomadaire, parue hier, le département de recherche de Bordier & Cie souligne que les craintes d’inflation, les perspectives abyssales sur la dette du gouvernement US, et les signaux de reprise économique évidents ont poussé vers le haut les rendements à long terme sur la dette du gouvernement américain, ce qui pénalise les évaluations des actions. D’autre part, la banque privée genevoise avance que la hausse des rendements obligataires à long terme et les craintes géopolitiques o...
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