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Bonnes perspectives 2004. La suite apparaît plus délicate

Les déficits américains et les bulles immobilières figurent parmi les principales menaces pour la croissance économique en 2005.

25 septembre 2003, 0h00
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«Le pire est-il enfin derrière nous?» C’est ainsi que s’intitulait la présentation d’Andreas Höfert, responsable de la recherche à l’UBS à Zurich, mardi à Genève. A cette question brûlante, l’économiste apporte une réponse en deux temps: oui, le pire est certainement derrière nous. Mais pour combien de temps? A noter également la présence, inhabituelle à ce traditionnel rendez-vous des investisseurs, du professeur Albert Jacquard, le célèbre généticien et philosophe français (voir article «Les ...
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