16 septembre 2003, 0h00
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Les juges du Tribunal de première instance de Genève ont reconnu en substance que l’accord de gestion dont bénéficie le Hilton s’assimilait à un véritable contrat de bail. Cette décision est susceptible de contrarier les projets des banques créancières du groupe aux mains de l’homme d’affaires Nessim Gaon. Conséquence: le Hilton ne pourra pas être délogé. Il reste le gérant du palace genevois et le personnel a tout lieu d’être rassuré, lui qui craignait de faire les frais d’une cession au profit...
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