28 avril 2000, 0h00
Partager
L’une des principales contributions japonaises au monde des deux roues restera sans conteste la propreté. Avec les motos nipponnes, finies les taches de cambouis ou d’huile maculant pantalons et vestes. Pourtant, en dépit du désir profond de s’affranchir des embarras de la circulation urbaine, beaucoup reculent devant l’usage de la moto ou du scooter.
Les deux roues ne protègent pas de la pluie, imposent le port du casque et leur sécurité passive est plus qu’aléatoire en cas de collision avec un...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT