06 janvier 2000, 0h00
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Hier, une nouvelle de l’ATS retenait notre attention par son titre étrange: «Traître bouchée». Cryptique! On devinait quelque chose de bouché quelque part, mais comment associer cela à de la traîtrise? A la lecture du communiqué, tout est devenu clair: un cambrioleur a laissé une barre de chocolat qu’il avait entamée dans un appartement où il avait commis un larcin. La police n’a plus eu qu’à faire analyser la salive qu’il avait laissée sur sa friandise pour le retrouver. Faut-il préciser que ce...
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