02 mars 2001, 0h00
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On le sait depuis longtemps, l’horlogerie est courtisée par bon nombre d’investisseurs. On a vu, tout au long de ces années, des financiers se lancer à l’assaut du rêve technique de la montre avec, à la clé, une arrière-pensée de gagner beaucoup d’argent. Quelques-uns ont très vite compris et ont renoncé avant même d’avoir commencé. D’autres n’ont pas vu le mur dans lequel ils fonçaient et les catastrophes programmées se sont produites. Une troisième catégorie a réussi et une quatrième, qui étai...
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