09 décembre 2005, 0h00
Partager
Bien qu’il paraisse à priori complexe, le partenariat public privé (PPP) n’est pas un gadget technocratique. De cela, tant le sénateur Thomas Pfisterer (PRD/AG) que le Conseil fédéral et Hans-Rudolf Merz, en sont convaincus. Le second interpellé par le premier jeudi au Conseil des Etats à Berne, a été prié d’étudier toutes les opportunités que le PPP peut apporter à la Confédération. Séduit, le ministre des finances le perçoit comme une formule intéressante pour faciliter l’accomplissement des t...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT