• Vanguard
  • Changenligne
  • FMP
  • Rent Swiss
  • Gaël Saillen
S'abonner
Publicité

Berne ne veut pas la guerre avec le gouvernement italien

«Ce serait stupide», explique Hans-Rudolf Merz. Un groupe de travail est nommé pour apaiser les esprits.

05 novembre 2009, 0h00
Partager
Le Conseil fédéral hausse le ton. Dans cette crise avec la Libye, il ne pouvait faire autrement, puisque Tripoli refuse toute collaboration, séquestre toujours les deux otages suisses dans un lieu secret et interdit tout droit de visite. En conséquence, Berne a décidé de suspendre l’accord signé à Tripoli le 20 août et poursuit jusqu’à nouvel ordre sa politique de visas restrictive vis-à-vis des ressortissants libyens. Par contre, le gouvernement veut apaiser les tensions fiscales avec Rome. Il ...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT

Plongez-vous dans l’actualité des entreprises, de la finance et de la politique