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Berne ne doit pas s’alarmer de sa solitude apparente

L'absence de la Suisse au G20 fait débat au sein de la classe politique. Mais il n’y a pas de raison de s’alarmer pour l’instant, estime le politologue René Schwok.

24 février 2009, 0h00
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Alors que Washington met en joue UBS et le secret bancaire et que l’UE monte les tours, la Suisse se voit à nouveau reprocher de manquer d’alliés sur le plan international. D’aucuns jugent son absence du sommet du G20, en avril prochain, particulièrement symptomatique d’un «isolement» croissant. Mais faut-il vraiment s’en émouvoir? «Non, ce n’est que le corollaire de sa taille et de sa non-appartenance à l’UE et à l’OTAN», estime René Schwok, maître d’enseignement et de recherche à l’Institut eu...
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