23 octobre 2008, 0h00
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Nombreux sont ceux qui, dans les cercles européens, jugent «ridicule» la réaction offusquée des politiques et de l’économie helvétiques aux déclarations qu’a faites mardi le ministre allemand des Finances, Peer Steinbrück, sur la Suisse, qui mériterait selon lui d’être inscrite sur la liste noire des «paradis fiscaux non coopératifs» établie par l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE).
Tout le monde sait que la Suisse n’entre pas dans cette catégorie – actuellemen...
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