12 avril 2001, 0h00
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Les Européens venaient à Berne faire comprendre aux Suisses qu’ils devaient pratiquer comme eux l’échange d’informations en matière fiscale sur l’épargne dès 2010, ce qui viderait une bonne partie du secret bancaire de sa substance. C’est inadmissible pour la Suisse: hier, les Européens se sont donc fait accueillir fraîchement même si les discussions sont demeurées extrêmement courtoises. D’autant que, pour accepter d’aider Bruxelles à éviter que les capitaux ne fuient l’Union à l’introduction d...
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