16 mai 2006, 0h00
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L’éclatement de la précédente bulle spéculative au début des années 1990 a frappé de plein fouet Bernard Nicod. L’entrepreneur lausannois revendique d’avoir été parmi les premiers à la voir venir, mais il n’a pas eu le temps de vendre son portefeuille immobilier. Il a alors perdu un million de francs par mois pendant sept ans. Dès lors, il a suivi de près l’échauffement du marché ces derniers mois. Mais sa conclusion est claire: «pas de bulle» cette fois-ci. Il l’a dit à «L’Agefi».
Immobilier...
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