31 août 2010, 0h00
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Le discours de Ben Bernanke, président de la Réserve fédérale (Fed), vendredi 27 août est tombé à point nommé pour les marchés mondiaux. En effet, les informations économiques très défavorables en provenance des Etats-Unis s'accumulent depuis quelque temps. Le chômage s'y maintient à un niveau quasi-record, l'inflation menace de se transformer en déflation et la confiance est encore très érodée. L'économie américaine est donc loin d'être sortie de sa convalescence, a jugé le président de la banq...
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