15 juin 2009, 0h00
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Après le sauvetage controversé d’Opel, le gouvernement allemand refuse d’ouvrir la boîte de Pandore des aides publiques, une fermeté qui permet à Angela Merkel de marquer des points à trois mois des élections générales.
La chancelière conservatrice le répète à l’envi: Opel, sauvé grâce à un crédit public d’1,5 milliard d’euros, est un «cas exceptionnel».
Le constructeur automobile, filiale de l’américain General Motors, était déjà en difficulté avant la crise, ce qui le disqualifiait pour ...
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