20 septembre 2005, 0h00
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C’est un véritable cri du cœur qui s’est exprimé hier en Allemagne, au lendemain du match nul électoral Schröder/Merkel: «Quel que soit le gouvernement, qu’il continue les réformes!» Ce cri a été proféré séparément par Klaus-Peter Müller, président de l’Association allemande des banques et directeur général de la Commerzbank, cité par Reuters, et par le président de la Fédération des indépendants Rolf Kurz, dans une déclaration à la Frankfurter Allgemeine Zeitung.
Face à la bouteille à encre ...
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