16 août 2007, 0h00
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On l’accuse d’être «l’alarmiste en chef». N’a-t-il pas déclaré, en novembre 2006, que «nous sommes en 1938 et que l’Iran est l’Allemagne»? Cette accusation pourrait tenir si elle avait été faite par un intellectuel de salon prompt à accueillir et développer des propos apocalyptiques. Or, Benjamin Netanyahou, qui vient d’être nommé par le Likoud pour briguer le poste de premier ministre, ne rentre pas dans cette catégorie. La peur, il ne l’a pas connue dans un fauteuil, mais au combat. Et cette p...
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