05 juillet 2001, 0h00
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De prime abord, l’idée d’une fusion entre KPN et Belgacom peut sembler absurde. Ne serait-ce que parce que le futur groupe de télécommunications se retrouverait avec des réseaux mobiles à la fois aux Pays-Bas et en Belgique, dont il lui serait bien difficile de se défaire pour un bon prix dans un climat aussi hostile aux activités mobiles. Cependant, dans le cadre d’une option de vente qui a échappé à beaucoup, Belgacom est autorisé à vendre sa part dans Ben, un traînard sur le marché néerlandai...
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