15 juin 2006, 0h00
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George Bush a saisi la première éclaircie sérieuse dans les ténèbres qui semblaient s’appesantir sur sa présidence pour miser le gros de son capital politique sur un scénario dramatique, sa manœuvre politique favorite:
disant bonne nuit lundi soir à son cabinet, aux experts militaires et civils réunis à Camp David qui pensaient le revoir mardi, il filait à la base d’aviation d’Andrews pour un vol de onze heures à Bagdad. Le premier ministre irakien Nouri al-Maliki, attendant mardi à l’ambassa...
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