22 janvier 2002, 0h00
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Brassens chantait «un bon petit diable à la fleur de l’âge, la jambe légère et l’œil polisson qui s’en allait à la chasse aux papillons». Lui, Beat Kappeler, va aussi à la chasse. Il débusque les conformismes, les contradictions, les confusions et, avec une certaine délectation, le politiquement correct. Cela signifie que, pour nourrir ses réflexions hebdomadaires dans la Weltwoche et ses chroniques du Temps, pour alimenter ses livres, Beat Kappeler possède un fonds de commerce inépuisable.
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