24 août 2005, 0h00
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Plus elle se rend impopulaire aux yeux du public, plus la Banque Cantonale Vaudoise enrichit ses résultats et plus elle verse des dividendes à son principal actionnaire, l’Etat de Vaud qui en détient près de deux tiers des parts. Et plus elle devrait donc être chère au cœur des contribuables d’un canton tellement endetté qu’il paie un million de francs d’intérêts par jour ouvrable à ses créanciers. On dirait un paradoxe, ce n’en est pas un.
Pour rétablir ses comptes, la BCV doit tailler à la ha...
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