03 janvier 2002, 0h00
Partager
La recapitalisation forcée de la Banque cantonale vaudoise (BCV) obéit à une logique financière implacable. La Commission fédérale des banques (CFB) exige désormais une actualisation des risques à court terme et met fin à une pratique qui consistait à évaluer le risque en tenant compte d’un délai raisonnable de réalisation (lire en première page). Pour avoir sans doute sous-estimé ce changement de doctrine, la BCV est prise de cours et contrainte de solliciter une rallonge en capital de 300 mill...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT