20 octobre 2003, 0h00
Partager
Elles sont appelées à prendre la première place des affaires politico-économico-judiciaires de leurs cantons. Les suites de la débâcle de la Banque Cantonale de Genève (BCGe) en 2000 et celle de la Banque Cantonale vaudoise (BCV) l’an dernier ont ouvert la boîte de Pandore. Et pas uniquement par le nombre de notables impliqués – 53 à Genève, une dizaine dans le canton de Vaud pour l’instant –, mais aussi pour la question du coût.
A Genève, au moins trois procédures, dont une civile, sont en c...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT