09 mai 2011, 0h00
Partager
En refusant d'apporter son soutien officiel à la candidature de Mario Draghi à la tête de la BCE, Angela Merkel cherche une nouvelle fois à imposer son calendrier et ses exigences aux autres responsables européens, au prix d'une certaine cacophonie.Sans le dire publiquement, son ministre des Finances Wolfgang Schäuble ne cache pas en effet qu'il est favorable à ce candidat pour prendre la succession de Jean-Claude Trichet le 1er novembre, faute d'Allemand à mettre dans la balance, comme l'a conf...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT