08 octobre 2003, 0h00
Partager
Wim Duisenberg a quelque peu terni la fin de son mandat à la tête de la Banque centrale européenne en contribuant à faire bondir l’euro face au dollar par des propos jugés maladroits et qui rappellent de fâcheux précédents pour le Néerlandais.
Une fois encore, c’est en s’exprimant sur le sujet hautement sensible du taux de change de la monnaie unique, qu’il a provoqué des remous. «Le dollar est la devise d’un pays ayant un énorme déficit de la balance des paiements (...) Les Etats-Unis devron...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT