31 janvier 2005, 0h00
Partager
S’il vaut mieux oublier ses peines, l’oubli peut aussi causer beaucoup de peines. Un bon exemple pourrait être Lanxess, l’activité chimique qui est sorti du conglomérat allemand Bayer. Sa capitalisation boursière de 1,1 milliards d’euros est basée sur les transactions du marché gris. Cela suggère que les investisseurs ne font pas attention à de nombreuses similarités entre Lanxess et Rhodia. Lui-même sorti de Rhône-Poulenc en 1998, Rhodia rassemblait une collection d’activités matures opérant av...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT