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Barroso refuse de laisser à quai Rocco Buttiglione, le pestiféré

Le président de la future Commission a engagé hier une épreuve de force avec les eurodéputés centristes et de gauche.

22 octobre 2004, 0h00
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L’affaire Buttiglione s’envenime. Hier, José Manuel Durão Barroso, qui est appelé à prendre la présidence de la Commission européenne le 1er novembre, a refusé de remodeler son équipe, malgré les critiques qui se sont abattues sur elle. Il ne craint pas un vote de censure du Parlement européen, le 27 octobre. Le risque est pourtant réel. «Une guerre de religions, c’est la dernière chose dont l’Europe a besoin. J’en appelle au bon sens» des eurodéputés. José Manuel Durão Barroso a du courage. ...
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