15 septembre 2003, 0h00
Partager
Il est difficile de trouver de la logique dans la longue marche ascendantes des titres des banques italiennes cette année. Techniquement, l’économie de ce pays est en récession. La dernière fournée de résultats du deuxième trimestre ne contient guère de bonnes nouvelles: il n’y a pas de quoi pavaner avec les revenus de la croissance, à l’exception, peut-être, du négoce. Seules quelques banques sont parvenues à réduire leurs coûts. Il est vrai qu’il n’y a pas non plus beaucoup de mauvaises nouvel...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT