18 juillet 2001, 0h00
Partager
Dans le débat sur l’évolution de la banque d’affaires, Standard & Poor’s a vite tranché. Goldman Sachs, Merrill Lynch et Morgan Stanley vont devoir imiter les grandes banques commerciales, en facilitant l’accès de leurs clients aux capitaux. Pour l’agence de notation, l’alternative est simple: ils devront accepter une baisse du rendement des capitaux investis (compensée par des commissions plus coquettes) ou se résigner à des pertes sur prêts.
Telle sera sans doute la nouvelle loi de la concurre...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT