20 avril 2005, 0h00
Partager
Tout est parti d’un constat. La Suisse est une puissance bancaire et financière importante sur le plan mondial. La discussion récente sur l’importance du secret bancaire montre que son éventuelle remise en cause nécessite aussi de développer d’autres stratégies. Les nouveaux produits à mettre sur le marché ont besoin des meilleurs cerveaux. Or curieusement la Suisse dispose certes de bons centres de formation et de recherche, mais ceux-ci dégagent une offre d’une part trop fragmentée, entraînant...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT